Sécurité

Stationnement sur les trottoirs

Pour des raisons de sécurité des familles et de respect du code la route, il est demandé aux personnes de ne plus se garer sur les trottoirs. Les trottoirs doivent être libre d’accès pour les piétons.

Il est demandé aux personnes qui le peuvent, de garer leurs véhicules sur leur terrain (garage, grange, …), ou sur des places de parking dédiées.

Soucieux d’améliorer la sécurité de tous, nous comptons sur votre compréhension et votre civisme pour permettre d’améliorer la sécurité de tous.

Se garer sur le trottoir : que dit le Code de la route ?

L‘article R417-11 du Code de la route stipule qu’un stationnement sur le trottoir d’un véhicule motorisé est considéré comme gênant la circulation publique. De fait, c’est verbalisable.

Se garer sur un trottoir est considéré comme un stationnement très gênant relevant des contraventions de 4e classe, soit :

  • Une amende forfaitaire de 135 € (35€ pour un 2 roue), majorée à 575 €.
  • Aucun retrait de point sur le permis de conduire.
  • L’immobilisation et la mise en fourrière du véhicule en cas d’absence ou de refus du propriétaire de déplacer le véhicule.

Stationnement gênant

La loi différencie 3 catégories d’infraction :

  • Les stationnements gênants,
  • Les stationnements très gênants,
  • Et les stationnements dangereux ou abusifs.

→ Stationnement considéré comme gênant :

  • Sur une bande d’arrêt d’urgence,
  • En double fil,
  • Devant une entrée d’immeuble ou un garage privé,
  • Dans les aires piétonnes ou les zones de rencontre, etc.

→ Stationnements très gênants :

  • Sur un trottoir,
  • Sur un passage piéton,
  • Sur une voie réservée à la circulation des bus ou des taxis,
  • Sur une zone affectée aux personnes à mobilité réduite,
  • À proximité de toutes signalisations routières si le gabarit du véhicule masque ces dernières.

→ Stationnements dangereux :

  • Au sommet d’une côte
  • À l’approche d’un virage
  • À proximité d’un passage à niveau

→ Stationnements abusifs :

  • Un stationnement de plus de 7 jours, ou selon la durée limite fixée par l’autorité compétente, au même endroit.